Bonjour chère universelle! Aujourd’hui, un article spécialement dédié aux femmes qui désirent vivre une vie épanouie remplie de liberté et d’amour! C’est ce qu’on veut toutes, n’est-ce pas? Ensemble, on va découvrir quelles sont les blessures intérieures qui t’en empêchent et voir ce que tu peux faire pour les débloquer!
Blessure #1: tu es déconnectée de tes émotions
À cette époque où on apprend aux femmes à devenir des hommes et où on nous fait croire que c’est mal vu de montrer ses émotions, certaines femmes pourraient avoir tendance à refouler leurs émotions. Pour pas gêner. Pour pas paraître ch*ante. Pour ne pas créer de conflits. Ou alors, pour ne pas paraître faible (parce qu’une Femme forte ne pleure pas, pas vrai?).
Dans la spiritualité, on a également créé la croyance qu’il faut éliminer le négatif et chercher tout de suite à être plus positif pour pas attirer des situations de m**de à soi!
Le souci, à force de refouler les émotions négatives pour ne laisser vivre que les positives, ces émotions vont aller chercher refuge quelque part dans ton corps physique/psychique. Pare que oui, ces émotions que tu refoules peu importe la raison, elles vont pas disparaître comme par magie! Tant qu’elles ne sont pas accepté, exprimé, libéré, elles vont se cacher à l’intérieur de toi et ressortir à des moments imprévus.
Comme durant tes règles par exemple quand tu pleures pour un rien ou que tu te mets en mode Hulk parce qu’il a encore laissé traîner ses chaussettes! De plus, les émotions refoulées, en médecine chinoise, finit par créer des maladies et tu te retrouves des années après, à chercher à comprendre comment dépasser un blocage, guérir d’une maladie, avancer sur tes projets, alors que depuis le début, tu pouvais reconnaître l’émotion et la libérer avant qu’elle se bloque au fin fond de ton inconscient!
Ce que tu peux faire pour guérir cette blessure émotionnelle: accepter tes émotions (c’est accepter de reconnaître que tu vas mal, que oui, ce que tu as vécu t’a fait mal), les exprimer sans violence ou même de manière artistique afin de pouvoir les libérer.
Blessure #2: Les autres d’abord, toi en dernière!
Les femmes et les enfants d’abord svp! Sauf qu’ici à l’époque moderne, c’est les autres d’abord et toi plus tard (voire ptet jamais)! Une femme déconnectée de son féminin sacré a tendance à refouler (encore du refoulement!) ses besoins, ses désirs, ses envies. Parce qu’elle a des responsabilités, elle, non mais! D’abord s’occuper du mari, des enfants, de la maison, du boulot… tiens, j’ai l’impression d’oublier quelqu’un... indice: toi!
Prends soin de toi d’abord pour pouvoir mieux prendre soin des autres après! ça veut dire se faire plaisir (dans tous les sens du terme 😉 ), arrêter de se forcer à faire des choses qui ne te font pas envie et donc poser des limites! Dire non, stop à tout ce qui ne te met pas en joie et à tout ce qui te fait te sentir rabaissée, dévalorisée. Une Femme Sacré reconnaît sa valeur et déesse comme elle est, elle sait ce qu’elle vaut et il y a des gens sur cette Terre qui ne la mérite pas!
Ce que tu peux faire pour guérir cette blessure: défendre ton territoire. Non, tu vas te faire passer en première pour cette fois. Non, tu n’as pas envie de faire ça. Stop, il n’a pas le droit d’agir comme ça avec toi, tu ne mérites pas ça!
Blessure #3: tu es déconnectée des plaisirs de la vie
Dis-moi, qu’est-ce que tu aimes faire au quotidien? Quels sont tes moments de plaisirs? As-tu des passions, des loisirs, des choses que tu kiffes faire? La femme connectée à son féminin sacré sait ce qui lui fait plaisir et elle le fait. Et elle ose parfois virer ce qui ne la met pas en joie. Elle adore les petits et grands plaisirs de la vie, cela réveille sa joie et augmente sa jauge de gratitude!
Le plaisir n’est pas superficiel, c’est comme un boost qui nous stimule et qui nous donne envie de donner le meilleur de nous-même! Un instant de plaisir n’est jamais un moment de perdu. Cela peut être se cuisiner un beau dessert gourmand, lire un livre qu’on adore, faire des activités artistiques, manuelles, culturelles, des balades & compagnie.
Pour guérir la blessure: découvre et explore ce qui te fait plaisir régulièrement! Une femme connectée à son plaisir est une femme qui retrouve son potentiel et sa pleine puissance!
Blessure #4: tu subis encore l’influence de ta lignée maternelle
Tu sais, j’ai lu que l’utérus d’une femme se trouve déjà chez celle de sa mère même avant sa naissance, quelque chose dans ce genre-là. Donc ton utérus était déjà chez ta mère avant que tu sois née, et l’utérus de ta mère était déjà chez celle de ta grand-mère. Et comme les émotions, les croyances et compagnie influencent notre corps physique-psychique, il se peut bien que tu portes des blessures qui ne sont même pas les tiennes!
On appelle ça les mémoires de la lignée maternelle, l’épigénétique, la mémoire transgénérationnelle et autre nom de ce genre. C’est pour ça qu’il existe des thérapeutes qui vont directement travailler sur ces mémoires. Mais tu peux bien les découvrir toi-même et les libérer dès aujourd’hui afin d’avancer dans ta vie de femme à toi (et pas celle de ta mère ou de tes (arrières) grands-mères!)
Pour guérir cette blessure: observe les similarités entre toi et ta mère (et/ou ta grand-mère) et détecte la croyance qui pourrait être cachée derrière. Applique la formule de l’hoponopono dessus: « Je suis désolée, pardonne-moi, je te remercie, je t’aime! » Parfois même juste le fait de découvrir une croyance permet déjà de la dissoudre bout à bout.
J’espère que cet article t’a plu et t’est utile! Il y a d’autres blessures mais pour l’instant, je vais m’arrêter là! Cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit sur le blog et je me rends compte maintenant que ça me manquait! J’écris beaucoup plus sur ma newsletter et sur Instagram qu’ici, mais je pense rattraper cela en 2019. Oh, au faite: bonne année à toi! Et merci de continuer à me lire jusqu’à aujourd’hui! <3
Instant confidences
Je t’invite à m’écrire en commentaire: quelles sont les blessures qui ont résonné en toi?
Et si tu as aimé cet article, merci de le partager autour de toi afin que d’autres femmes puissent également découvrir et guérir leurs blessures!
Coucou Aline !
Beaucoup de bonnes choses dans cet article, merci du partage ♥
Globalement, j’avais conscience des trois premières blessures, et ça fait du bien d’avoir des outils pour les guérir. J’avais commencé à reconnaitre ma valeur en m’achetant les quelques objets vraiment jolis que je m’interdisais depuis des années (on commence là où on peut hein xD) Maintenant je dis « non ».
Pour la dernière.. J’en ai pris conscience très récemment et je ressens un blocage assez fort. C’est donc le bon endroit pour creuser ! 🙂
Coucou Serely, heureuse que cet article ait pu t’aider!
Merci <3
Avec plaisir Sarah, j’espère que cet article a pu t’éclairer =)
Je suis un homme et je m’y reconnais aisément. Parcontre le petit m. Vie en-dedans, intensément et m’occuppe de tous et de rien. Cette état suinte comme une résine et transparait. Ses relation interpersonnel sont d’une lourdeur atroce et tellement épuisante sur son moral et sa vitalité. Difficile de fuir cette grotte et pourtant bien des lumières; volage, éphemère. C’est sombres lumières (illusion ou allusion à la lumière du bout du tunel). Homme sacré ou ConCitoyen font mal au torax. L’angoisse de l’inaction semble peser pour chaque cycle imcomplet, chaque émotion non exprimer, chaque pensee non assumer, mais pire chaque émotions vécu en présence comme étant une des pires négligence. Ca suinte de moi, de tousses. Mon mérier sur cette terre en cette instant avec les conditions actuel( transmuer en joie de vivre tout ce bouillon gluant.) Enfin je crois que c’est un bon but vue la noirceur de la grotte au multiple chemin. Je ne cacherai pas que je me sent le cancre des cancrelats.
Holà et Merci pour ce bel article qui m’a régalée 🙂
Pour la 1: j’apprends à exprimer mes émotions de manière « appropriée » tant elles sont intenses.
Pour la 3: Oh que j’ai aimé faire cette liste infinie des détails de ma vie que j’aime cultiver, quelle douceur que de réaliser que je sais prendre soin de moi mieux que je ne le croyais, Merci pour ce cadeau!
Pour la 2, en lien avec la 4: je suis aujourd’hui toujours en travail (constellations familiales, médecine chinoise, théta healing) sur les blessures de ma lignée maternelle et comment elles m’agissent malgré moi. En ce moment le point le plus fort est pour moi celui soulevé en 2: faire passer les autres avant moi, croire que je dois me sacrifier, confondre/amalgamer le service, le don de soi (que j’aime et qui me donne la pêche) avec l’asservissement, la servilité, le syndrome du sauveur et son antécédent de victime… Merveilleux ^^
Par ailleurs, pour moi, avec tous ces shémas familiaux, il n’est pas simple de discerner quand une relation m’est réellement néfaste et quand c’est moi (et mes shémas) qui me projette sur l’autre. Et puis pour revenir au point 1: défendre son espace, Oui, encore faut-il avoir les mots pour ça 😉
Voilà, merci encore pour cet article et pour cet espace d’expression que tu nous offre. <3
Coucou Prisca!
Ravie que cet article t’ait parlé et merci pour tes partages d’expériences! Tu fais déjà de belles avancées avec tout ce que tu apprends/entreprends.
Je comprends qu’il te soit difficile de « défendre son espace », ça me le fait à moi aussi mais parfois, je me rends compte que s’exprimer le plus simplement possible, ça suffit amplement sans chercher à compliquer les choses à trouver « les bons mots » (ce que tu ressens, ce dont tu as besoin, la « règle » que tu veux poser/ la solution que tu proposes à la personne)…